Zitate von Alphonse Marie Louis de Lamartine
Ein bekanntes Zitat von Alphonse Marie Louis de Lamartine:
Was ist unser Leben als eine Reihe von Präludien zu jenem unbekannten Lied, dessen erste feierliche Note der Tod anschlägt?
Informationen über Alphonse Marie Louis de Lamartine
Schriftsteller, Politiker, erster großer Lyriker der französichen Romantik, "Nouvelles Méditations" (Frankreich, 1790 - 1869).
Alphonse Marie Louis de Lamartine · Geburtsdatum · Sterbedatum
Alphonse Marie Louis de Lamartine wäre heute 234 Jahre, 6 Monate, 9 Tage oder 85.658 Tage alt.
Geboren am 21.10.1790 in Mâcon
Gestorben am 28.02.1869 in Paris
Sternzeichen: ♎ Waage
Unbekannt
Weitere 210 Zitate von Alphonse Marie Louis de Lamartine
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[. . .] le monde antique s'était affranchi au nom du Christ, le monde moderne s'affranchissait au nom des droits que toute créature a reçus de Dieu.
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[. . .] le sentiment du droit est si fort parmi les hommes que, même quand ils le violent, ils en affectent encore l'hypocrisie [. . .]
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[. . .] sa démocratie tombait de haut: elle n'avait rien de ce sentiment de convoitise et de haine qui soulève les viles passions du cur humain, et qui ne voit dans le bien fait au peuple qu'une insulte à la noblesse. [. . .] C'était un volontaire de la démocratie.
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[Il était évident] que l'idée de Dieu, confinée dans les sanctuaires, en sortirait pour rayonner dans chaque conscience libre de la lumière de la liberté même.
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[Le christianisme] avait proclamé les trois mots que répétait à deux mille ans de distance la philosophie française: liberté, égalité, fraternité des hommes.
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A tout être la fin n'est que commencement; - La souffrance, travail; la mort, enfantement.
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Age heureux de la grâce et de la volupté; qui confond en un jour le printemps et l'été.
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Ah! l'homme est le livre suprême: - Dans les fibres de son cur même, lisez, mortels: Il est un Dieu!
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Aimer, prier, chanter, voilà toute ma vie.
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Ainsi tout change, ainsi tout passe; - Ainsi nous-mêmes nous passons, - Hélas! sans laisser plus de trace que cette barque où nous glissons sur cette mer où tout s'efface.
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Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, dans la nuit éternelle emportés sans retour, ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges jeter l'ancre un seul jour?
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Amitié, doux repos de l'âme, crépuscule charmant des curs [. . .]
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Amour, être de l'être! amour, âme de l'âme!
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Après m'avoir aimé quelques jours sur la terre, souviens-toi de moi dans les cieux.
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Au cur de cet enfant j'ai reconnu le mien. [. . .] Et mon cur abusé, ne comptant plus les jours, - Croit en l'aimant d'hier l'avoir aimé toujours.
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Aux regards de Celui qui fit l'immensité, l'insecte vaut un monde: ils ont autant coûté.
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Beauté, présent d'un jour que le ciel nous envie.
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Beaux lieux, soyez pour moi ces bords où l'on oublie: - L'oubli seul désormais est ma félicité.
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Béni soit l'étranger qui vient au nom du Christ!
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Bénis plutôt ce Dieu qui place un crépuscule entre les bruits du soir et la paix de la nuit!