Zitate von Alphonse Marie Louis de Lamartine
Ein bekanntes Zitat von Alphonse Marie Louis de Lamartine:
Gott ist nur ein erdachtes Wort, die Welt uns zu erklären.
Informationen über Alphonse Marie Louis de Lamartine
Schriftsteller, Politiker, erster großer Lyriker der französichen Romantik, "Nouvelles Méditations" (Frankreich, 1790 - 1869).
Alphonse Marie Louis de Lamartine · Geburtsdatum · Sterbedatum
Alphonse Marie Louis de Lamartine wäre heute 234 Jahre, 5 Monate, 26 Tage oder 85.644 Tage alt.
Geboren am 21.10.1790 in Mâcon
Gestorben am 28.02.1869 in Paris
Sternzeichen: ♎ Waage
Unbekannt
Weitere 210 Zitate von Alphonse Marie Louis de Lamartine
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Et le rapide oubli, second linceul des morts, a couvert le sentier qui menait vers ces bords.
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Etre seul, c'est régner; être libre, c'est vivre.
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Étudier les siècles dans l'histoire, les hommes dans les voyages et Dieu dans la nature, c'est la grande école . . .
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Frère, le temps n'est plus où j'écoutais mon âme - Se plaindre et soupirer comme une faible femme.
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Hélas! dans une longue vie que reste-t-il après l'amour?
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Honte à qui peut chanter que Rome brûle, s'il n'a l'âme et la lyre et les yeux de Néron [. . .].
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Ici-bas, la douleur à la douleur s'enchaîne. Le jour succède au jour, et la peine à la peine.
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Il est . . . il serait tout s'il ne devait finir.
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Il est dans les repos de l'humaine existence de célestes moments, moments, hélas! trop courts, où dans le cur trop plein le sang suspend son cours [. . .]
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Il est nuit . . . Qui respire? . . . Ah! c'est la longue haleine, la respiration nocturne de la plaine!
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Il n'y a d'homme complet que celui qui a beaucoup voyagé, qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
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Insectes bourdonnants, assembleurs de nuages, vous prendrez-vous toujours au piège des images?
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Italie! Italie! Ah! Pleure tes collines, où l'histoire du monde est écrite en ruines!
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J'ai trop vu, trop senti, trop aimé dans ma vie.
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J'ai vu partout un Dieu sans jamais le comprendre.
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J'aimai, je fus aimé; c'est assez pour ma tombe.
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J'aimais les voix du soir dans les airs répandues, le bruit lointain des chars gémissant sous leur poids, et le sourd tintement des cloches suspendues au cou des chevreaux dans les bois.
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Je chantais, mes amis, comme l'homme respire, comme l'oiseau gémit, comme le vent soupire, comme l'eau murmure en coulant.
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Je crois que Dieu se manifeste toujours au moment précis où tout ce qui est humain est insuffisant, où l'homme confesse qu'il ne peut rien pour lui-même.
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Je marche dans la nuit par un chemin mauvais, ignorant d'où je viens, incertain où je vais.