Zitate von Wyston Hugh Auden

Informationen über Wyston Hugh Auden

Dichter, Professor für Dichtkunst/Oxford (England/USA, 1907 - 1973).

Wyston Hugh Auden · Geburtsdatum · Sterbedatum

Wyston Hugh Auden wäre heute 117 Jahre, 2 Monate, 4 Tage oder 42.798 Tage alt.

Geboren am 21.02.1907 in York
Gestorben am 28.09.1973 in Wien
Sternzeichen: ♓ Fische

• What do you think about England, this country of ours where nobody is well?

  ---

• What the mass media offers is not popular art, but entertainment which is intended to be consumed like food, forgotten, and replaced by a new dish.

  ---

• When he laughed, respectable senators burst with laughter, / And when he cried the little children died in the streets.

  ---

• When I find myself in the company of scientists, I feel like a shabby curate who has strayed by mistake into a drawing room full of dukes.

  ---

• You were silly like us; your gift survived it all: / The parish of rich women, physical decay, / Yourself. Mad Ireland hurt you into poetry.

  ---

• 

  ---

• Car la poésie ne fait rien arriver [. . .] elle survit, - Manière d'événement, bouche.

  ---

• Dors. Qu'as-tu appris de ce monde qui t'a enfanté, sinon une angoisse que ton Père ne peut ressentir?

  ---

• Fut-il libre? Fut-il heureux? la question est absurde: Si quelque chose avait cloché, on l'aurait certainement su.

  ---

• Il est facile de poser la question difficile.

  ---

• Il y a un plan pour les hommes vivants qui craignent pour leur vie [. . .] Et, au contraire d'une idée, peuvent mourir trop tôt.

  ---

• La faim ne laisse pas le choix; - ni au citoyen ni à la police; - s'aimer les uns les autres ou mourir.

  ---

• La majorité des Anglais « vont outre-mer » quand ils visitent le Canada ou l'Australie et « vont à l'étranger » quand ils traversent la Manche.

  ---

• Le temps et les fièvres consument la beauté tout individuelle [. . .] Mais, dans mes bras, jusqu'à l'aurore que repose la créature vivante, mortelle, coupable, mais, pour moi, belle entièrement.

  ---

• Les paroles d'un homme mort se modifient dans les entrailles des vivants.

  ---